Dans le cadre de la 22e édition du Mois du Doc, le campus Saint-Paul Saint-Georges se muait en structure d'accueil  pour la projection du documentaire Douce France, en partenariat avec l'association Cinécran. Pour le grand public le soir, auprès des élèves en spécialité cinéma et audiovisuel (CiAV) le matin même. Retour en images.

Leurs camarades durant la matinée avant la venue du "grand public" en soirée : les quelques terminales en spécialité cinéma et audiovisuel (CiAV) en charge d'organiser cet événement n'ont pas vraiment eu le temps de chômer, jeudi 25 novembre, à l'occasion des deux projections du documentaire Douce France, diffusé dans le cadre de la 22e édition du Mois du Doc.

À l'exception des terminales de leur spécialité dont la participation était basée sur le volontariat, l'affluence pour la séance matinale était connue d'avance, leur offrant les garanties d'un échange conséquent avec les spectateurs.

L'auditoire du soir fut moins important, certes : 34 spectateurs parmi lesquels des parents, lycéens et professeurs dont ceux de la spécialité sans oublier l'équipe de jeunes auxquels avait été confiée l'animation de ces deux séances.

Mais le nombre de ces entrées reste toutefois à relativiser avec le fait qu'il s'agissait là de l'affluence moyenne rencontrée auprès des autres projections qui se sont tenues à travers le département pour ce documentaire. À cela s'ajoute le fait que les précédentes soirées étaient établies sur la gratuité, au contraire du campus qui proposait un tarif unique pour cet événement.

« Une spectatrice a trouvé que le film documentaire Douce France était le meilleur de tous ceux qu’elle avait été voir durant l’événement Le Mois du Film Documentaire, parmi ceux proposés par l'association Cinécran dans le Morbihan », rapporte ainsi M. Gudenkauf, professeur de la spécialité qui a veillé à encadrer au mieux les élèves.

Ayant pu compter sur les présences d'une représentante de Cinécran et d'Ewa Brykalska, assistant à la réalisation du documentaire, nos terminales ont pleinement jouer leur rôle d'animateur durant la soirée, d'abord en introduisant la séance avant de permettre le bon déroulement du débat, offrant notamment aux spectateurs la liberté de questionner les deux intervenantes.

Dernière structure à avoir projeté Douce France – la première des dix organisées ayant eu lieu le 3 novembre, le campus peut malgré tout se targuer d'avoir attiré un public venu de l'extérieur malgré le coût sollicité pour y prendre part.

Félicitations à nos jeunes en terminale spécialité CiAV pour l'animation de ces deux séances et, encore une fois, un immense merci à Alexandre G. qui aura assuré l'aspect technique de cet événement !